Your new post is loading...
Your new post is loading...
martphone, réseaux sociaux, web: regards croisés des parents et des pré-adolescents / ado sur leurs comportements. Etude Xooloo-Opinion way : Doit-on vraiment mettre des limites à la vie numérique de son enfant ?
La rentrée scolaire passée, tout parent se demande comment va se dérouler l’année. De surcroît, l’entrée au collège coïncide généralement avec l’achat d’un smartphone, passage obligé et facteur d’intégration sociale indispensable au sein d’un groupe d’amis. Les interrogations de bon nombre de parents sont donc de plus en plus multiples et épineuses : mon enfant va-t-il être complètement accro ? Va-t-il savoir le gérer ? Que fera-t-il avec ?
Le secteur de la protection de l’enfance, en France, concerne près de 280 000 mineurs et jeunes majeurs (0-21 ans) dont 135 000 sont confiés dans le cadre d’une mesure de placement à l’Aide sociale à l’enfance (ASE). Ces mesures de protection conduisent au déplacement de l’enfant du domicile familial vers un lieu d’accueil (établissement collectif ou famille d’accueil). Ce travail exploratoire vise à interroger le travail des liens à partir des pratiques numériques des acteurs familiaux et professionnels (famille d’origine, d’accueil et jeune protégé) pendant et après le placement ; ainsi que l’articulation entre l’autonomie relationnelle (Metton, 2010) conférée par ces outils et la fonction de contrôle (Donzelot, 1977) assurée par les professionnels dans le cadre de la mesure de protection (Potin, 2014).
Face au phénomène du cyber-harcèlement, un élu propose d'imposer la mention d'une liste d'applications de secours sur les contrats de téléphonie mobile souscrits au profit des mineurs.
Les objets connectés et les enfants font-ils bon ménage ? C’est la question que nous avons décidé d’éclaircir cette semaine, après notre enquête sur la relation médecin/patient connectée !
Les dispositifs connectés renferment à la fois des données mais également, comme dit dans leur nom, une connexion. Connexion à Internet, application ou autres. Alors finalement c’est bien ou pas pour les enfants ?
Alors que le système d'évaluation européen des jeux vidéo PEGI est utilisé en France depuis des années, le gouvernement compte rendre obligatoire un dispositif de classification par âge et par contenu.
Jérôme Gaillard, enseignant dans le primaire a eu l'idée de créer un site, géré par plusieurs enseignants soucieux de proposer aux jeunes internautes un moteur de recherche adapté à leur âge et à leurs compétences.
Via Réseau Canopé, jlkpodar
La cyber-violence en milieu scolaire se développe, au collège comme au lycée. Selon une enquête du ministère de l'éducation nationale, un collégien sur cinq a déjà été la cible d'insultes, d'humiliations et de brimades par SMS ou sur les réseaux sociaux.
Si les objets connectés font désormais partie prenante du quotidien de beaucoup de Français et dans la plupart des domaines, il était jusqu’aujourd’hui quasi inexistant pour les enfants… et leurs parents. Linkoo change la donne en créant la première plateforme de géo-localisation qui permet aux parents de veiller sur leurs enfants à n’importe quel moment. Le système est possible grâce à une montre connectée à la plateforme et à une application, qui localise l’enfant à tout moment. Ce dernier peut également contacter ses parents, en cas de problème en appuyant sur les boutons dédiés sur sa montre. Pour que cette nouvelle technologie puisse voir le jour, Linkoo a besoin de 50 000 dollars avant la fin de la campagne qui se terminera à la mi-décembre.
Que s'est-il passé pour qu'en une génération, des enfants qui allaient à l'école tout seuls, parcourant parfois un long trajet, se mettent, une fois devenus parents, à enlever toute autonomie à leurs enfants?
En association avec Les Incollables, la CNIL propose un questionnaire pour évaluer la connaissance des internautes en matière de vie privée.
Le Permis Internet est une opération conjointe de la gendarmerie nationale et d’Axa Prévention destinée à terme à tous les élèves de CM2. Après avoir pris connaissance des contenus de cette opération, nous avons réagi et alerté le ministre sur les défauts de ce “permis”. La réponse du ministère n’est pas satisfaisante : elle indique que l’opération se mettra en place mais rappelle le libre choix pédagogique des professeurs des écoles concernant les outils et ressources à utiliser avec leurs élèves. Nous sommes évidemment d’accord avec le fait qu’une éducation des élèves au numérique à l’école est nécessaire pour mettre les possibilités ouvertes au service des apprentissages et que celle-ci doit intégrer des aspects de prévention des dérives, mais nous pensons que le Permis Internet ne répond absolument pas à ces enjeux, voire risque d’être contre-productif.
La sortie de Jean-François Copé contre un livre jugé impropre à l'éducation des enfants s'inscrit dans une longue tradition conservatrice.
Le contrôle parental que le gouvernement britannique veut imposer par défaut sur tous les accès Internet du pays est inefficace pour une partie de la jeunesse. C'est ce que révèle une enquête menée par l'Ofcom, le régulateur des télécoms anglais. Un enfant sur cinq âgé de 12 à 15 ans sait désactiver le filtrage.
|
Le gouvernement britannique vient de lancer une grande consultation pour mieux contrôler l’accès aux sites réservés aux adultes. Qui passe, notamment, par une vérification plus solide de l’âge des visiteurs, comme le révèle The Guardian.
A la demande du premier ministre Manuel Valls, le député Sébastien Pietrasanta a remis au gouvernement un rapport sur la déradicalisation contre le terrorisme, qui propose notamment d'instituer un passeport obligatoire à l'école pour internet, ou le sur-référencement des sites de "contre-discours" sur les moteurs de recherche.
Depuis une dizaine de jours, des sites proposant des images dessinées de mangas mettant en scène des enfants dans des actes sexuels sont bloqués en France, sur décision du ministère de l'intérieur, sans contrôle judiciaire. Si leur censure est conforme à la loi, la question du bien-fondé de la loi se pose au regard des études disponibles sur les relations entre la disponibilité d'images virtuelles et la délinquance sexuelles.
En Australie, les objets connectés en santé et sport font débat. Les chercheurs souhaitent donc approfondir l’impact que ces dispositifs ont sur les enfants pour pouvoir s’en servir à bon escient.
Le premier cas de blocage administratif d'un site Internet accusé de faire l'apologie du terrorisme et de proposer du contenu pédopornographique a eu lieu ce week-end, comme l'a signalé sur Twitter David Thomson, journaliste à RFI et auteur du livre Les Français jihadistes.
Concrètement, l'internaute cherchant à se connecter à ce site dimanche soir tombait sur le message suivant, assorti d'un pictogramme représentant une main rouge :
« Vous avez été redirigé vers ce site officiel car votre ordinateur allait se connecter à une page dont le contenu provoque à des actes de terrorisme ou fait publiquement l'apologie d'actes de terrorisme. »
Deux autres messages d'avertissement existent, l'un annonçant une page « comportant des images de pornographie enfantine », l'autre un « contenu illicite », sans davantage de précision.
Selon nos informations, une demi-dizaines de sites font actuellement l'objet d'un blocage administratif.
Qwant élabore un moteur de recherche destiné aux enfants de 3 à 12 ans. Baptisé Qwant Junior, il a vocation à être la porte d'entrée des jeunes internautes lorsqu'ils surfent sur le net à l'école. De ce fait, le moteur de recherche filtre de nombreux résultats afin de ne proposer que des sites approuvés. Qwant Junior sera déployé à partir de 2015.
La cyberviolence est relativement répandue dans les collèges, selon une enquête menée par l'éducation nationale. Près d'un collégien sur cinq est concerné et le phénomène est en progression.
Scott Robert Hansen est le premier homme à être condamné grâce à “Sweetie”, un appât virtuel créé par une ONG pour piéger les pédophiles.
Dans son rapport sur la cybercriminalité remis au Gouvernement, Marc Robert propose de re-créer une peine de suspension de l'accès à internet, cette fois pour punir les infractions pénales commises à l'encontre de mineurs.
À l’Assemblée nationale, plusieurs députés socialistes avaient questionné Fleur Pellerin pour savoir si la France envisageait d’adopter elle aussi une loi-gomme à l’instar des États-Unis au profit des moins de 18 ans. Ce texte institue en effet un droit à l’oubli, mais seulement pour les mineurs. La piste semble se confirmer au regard des esquisses du projet de loi sur les libertés numériques qui devrait être déposé en septembre 2014.
Cy« Dessine-moi les menaces informatiques ! » Telle est la proposition de l’AFUL qui souhaite ainsi sensibiliser la jeune génération sur cet épineux sujet. Dessine-moi les menaces
FAI, hébergeurs, registrars, éditeurs : comment ils signalent et traitent les contenus pédopornographiques ? Très interessant document mis en ligne par l'équipe de Gandi, géant de l'Internet Français. Un beau travail de transparence sur un sujet sensible. "FAI, hébergeurs, registrars, éditeurs : comment ils signalent et traitent les contenus pédopornographiques ?".
|